Ami(e),
Nous avons reçu une bien triste nouvelle plus tĂŽt ce mois-ci : Kiska, la derniĂšre orque en captivitĂ© du Canada, est morte aprĂšs avoir passĂ© plus de quatre dĂ©cennies dans un petit bassin en bĂ©ton stĂ©rile qui nâaurait pas pu ĂȘtre plus diffĂ©rent de son milieu naturel ocĂ©anique. Bien que les orques soient des animaux extrĂȘmement sociaux, Kiska a aussi Ă©tĂ© forcĂ©e de vivre seule et isolĂ©e durant les 12 derniĂšres annĂ©es de sa vie.
Kiska a Ă©tĂ© capturĂ©e en nature alors quâelle Ă©tait trĂšs jeune. Il est dâune tristesse infinie de penser que Kiska a passĂ© presque toute sa vie en captivitĂ©. Sa situation tragique de solitude et dâisolement met en lumiĂšre la cruautĂ© de lâindustrie de la faune sauvage gardĂ©e en captivitĂ© pour le divertissement. Il est temps dâexiger mieux pour ces crĂ©atures intelligentes et sentientes.
Nous vous invitons Ă en apprendre plus sur lâhistoire de Kiska et sur la façon dont vous pouvez honorer sa mĂ©moire en dĂ©fendant les animaux comme elle.
Ćuvrons pour un monde oĂč tous les animaux peuvent vivre en libertĂ© et en nature.
Un zoo de reptiles controversé ouvre ses portes malgré la décision de la ville
Saviez-vous que lâOntario est lâune des derniĂšres provinces canadiennes Ă sâattaquer aux questions liĂ©es Ă la faune sauvage en captivitĂ© et Ă ne pas rĂ©glementer les zoos? Cela signifie que chaque municipalitĂ© a la responsabilitĂ© de gĂ©rer individuellement les questions liĂ©es Ă la faune sauvage en captivitĂ©. Câest pourquoi nous faisons face de façon rĂ©pĂ©titive au dĂ©fi dâempĂȘcher les zoos de reptiles controversĂ©s comme Reptilia dâouvrir leurs portes dans des municipalitĂ©s de toute la province.
Bien que nous ayons convaincu trois municipalitĂ©s distinctes de lâOntario de rejeter la proposition de Reptilia dâouvrir un nouveau zoo sur leur territoire, lâentreprise ignore ces dĂ©cisions et prĂ©voit quand mĂȘme ouvrir ses portes! Cela ne fait que souligner la nĂ©cessitĂ© de renforcer la rĂ©glementation provinciale.
Aidez-nous à défendre une meilleure réglementation et à nous attaquer à cette question une fois pour toutes.
Le cĂŽtĂ© sombre de lâindustrie laitiĂšre dĂ©voilĂ©
Chaque annĂ©e, environ 198 000 vaches laitiĂšres sont envoyĂ©es Ă lâabattoir parce quâelles ne profitent plus Ă lâindustrie laitiĂšre. Ă la fin de leur vie, ces vaches connaissent une souffrance inimaginable, notamment en raison de problĂšmes de santĂ© douloureux, de leur transport sur de longues distances et de la nĂ©gligence. Les normes actuelles de lâindustrie nâassument pas leurs responsabilitĂ©s envers les vaches laitiĂšres, mais les choses peuvent changer.
Notre nouveau rapport, Milking the cow: the fate of Canadian cull dairy cows, met en lumiĂšre les questions souvent ignorĂ©es liĂ©es au bien-ĂȘtre des vaches laitiĂšres de rĂ©forme au Canada et offre des recommandations clĂ©s qui amĂ©lioreraient immensĂ©ment le bien-ĂȘtre des vaches laitiĂšres.
Une journĂ©e dans la vie de Rani, une Ă©lĂ©phante de travail au fort dâAmer
Du lever au coucher du soleil, les 91 Ă©lĂ©phants de travail du fort dâAmer sont forcĂ©s dâendurer douleur et souffrance en promenant des touristes au nom du profit.
Nous avons suivi une journĂ©e dans la vie de Rani, une Ă©lĂ©phante de travail, et nous avons constatĂ© lâimmense cruautĂ© Ă laquelle ces animaux sont confrontĂ©s dans lâindustrie du tourisme.
Comme la plupart des autres Ă©lĂ©phants de travail, Rani a probablement montĂ© la pente abrupte qui mĂšne au fort dâAmer jour aprĂšs jour pour y emmener des touristes toute sa vie.
Aidez-nous Ă offrir aux Ă©lĂ©phants de travail comme Rani la libertĂ© quâils mĂ©ritent.
Votre soutien peut contribuer Ă mettre fin aux promenades Ă dos dâĂ©lĂ©phant et Ă permettre Ă ces animaux de prendre leur retraite dans un sanctuaire oĂč ils pourront vivre sans souffrir.